2 avril 2017
Lazare, un ami de Jésus, le frère de Marthe et de Marie, est tombé malade, puis est mort. Jésus, solidaire de la nature humaine, n’empêche pas de mourir. Lazare de Béthanie est au tombeau depuis quatre jours. Sans doute, le cadavre se décompose déjà. Jésus pleure. « Voyez comme il l’aime ! ». Jésus demande que l’on enlève la pierre qui ferme le sépulcre. La voie est libérée, ouverte. Jésus cria : « Lazare, viens dehors ! ». Encore enveloppé de ses habits de mort, Lazare sortit. « Déliez-le et laissez-le aller ! », demanda Jésus à ceux et celles qui étaient là. Curieux moment, signe étrange. Lazare ne ressuscite pas, il guérit de la mort et de la décomposition. Ses familiers reprennent vie habituelle avec lui et lui font une place à table.
29 mars 2020
Pour Jean l’évangéliste, Marie et Marie-Madeleine se confondent. Vérité ou erreur ? Dans le quatrième évangile, Marie-Madeleine et Marthe sont les sœurs de Lazare. Tous les trois de Béthanie. Pour dire vrai, je n’en sais rien ! Mais j’ai lu dans les « synoptiques » qu’à l’onction des pieds de Jésus par ‘la pécheresse’, l’odeur d’un parfum subtil se répandit et que le Christ fit un lien avec sa mort-résurrection. Je pense que sur la route qui conduit au tombeau de Lazare flotte aussi une odeur exquise de retour à la Vie. Je crois que Pardon, Amour et Résurrection sont du même ordre.
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Jean 11, 19-27